HERRSCHAFT - "Architects of the Humanicide" - MCD - REVIEWS

http://www.rockline.it/modules.php?name=Reviews&rop=showcontent&id=1857

Debuttano con questo EP di venti minuti abbondanti i parigini Herrschaft, il cui ambizioso progetto di unione delle sonorità sensuali dell’Electro Dark e di quelle truci del Black Metal ha riscosso l’interesse della nostrana Code666, che si è offerta di ri-pubblicare a livello mondiale questo EP uscito originariamente nel 2006 e privo prima d’ora di una distribuzione che non fosse quella ‘artigianale’ della band stessa.

Il trio francese, cui si aggiunge un secondo chitarrista durante le performance dal vivo, segue la linea di quelle bands sperimentali che provano, con alterno successo, ad inserire parti di Metal estremo in contesti non strettamente legati ad esso; come già anticipato, gli Herrschaft partono dal mondo caotico dell’Industrial e da quello più patinato del Dark elettronico, incorporando nel loro sound i danzerecci beats sincopati, le chitarre acide, gli ossessivi campionamenti di tastiera e le decadenti melodie dei sintetizzatori, elementi che sono propri di alcune varianti di questi generi. Dal mondo Black Metal provengono invece la violenza chitarristica delle sezioni più tirate, il mood apocalittico delle atmosfere e l’aggressivo cantato in screaming, debitamente filtrato da effetti computerizzati per adattarlo al taglio modernista del disco – le parti metalliche hanno in realtà un peso limitato nel contesto generale, cosa che rende “Architects of the Humanicide” un episodio decisamente spostato più sul versante Electro che non su quello Metal.

Nonostante la recente formazione (2004) e la quindi poco longeva esperienza, gli Herrshacft dimostrano ottime qualità nel songrwriting, in quanto le cinque canzoni che compongono questo EP riescono -salvo brevi cadute di tono- a tenere alta l’attenzione dell’ascoltatore grazie a trovate magari non originalissime ma di discreta presa ed efficacia; il cantato arcigno e la generale atmosfera caotico-distruttiva donano particolare brillantezza a tracce che hanno l’unico neo nel non saper talvolta raggiungere un adeguato climax nel finale, come accade nella meccanica “Apogee”, conclusa un po’ troppo frettolosamente ma convincente nel complesso. L’ossessiva ma orecchiabile “Self Bondage”, caratterizzata da un riffing estremamente catchy, da una discreta varietà vocale e da un ritornello abbastanza facile nella sua concisione, può essere invece presa come manifesto della proposta dei transalpini, poiché mostrante tutti i pregi e difetti della loro musica: i coinvolgenti ritmi e melodie Electro sono mischiati con intelligenza alle abrasive trame di chitarra, ma queste ultime, nella loro intuitiva linearità, sono spesso soffocate dalla preponderante varietà elettronica: questo provoca, con l'intensificarsi degli ascolti, un'assuefazione ad un suono un po' troppo dolciastro per apparire sincero ad un pubblico Black Metal.

Gli Herrschaft sono indubbiamente promettenti e dotati di buone qualità tecnico-compositive, ma dovranno necessariamente sapersi confermare sulla lunga distanza: per fare ciò dovranno scontrarsi con la necessità di ampliare un poco lo spettro musicale finora mostrato, maturando ulteriormente e rifinendo il loro bagaglio di esperienze.
 
http://www.gothtronic.com/?page=23&reviews=3478

Rammstein is what came too mind when I heard the first guitar riffs of the second song called Apogee. Luckily this was just a first impression because this five track EP called Architects of the Humanicide is entirely different when you compare it with Rammstein. Herrschaft is a French act where three men share their passion for extreme metal and electro/industrial music. You might think of the Kovenant and Death Stars but the cyber-metal Hersschaft makes is more brutal and aggressive. In my opinion it has even more black metal influences than the above mentioned acts nowadays. A combination of dark and atmospheric samples, heavy guitar and cyber synths do their work effectively and see to it that this EP is diverse yet with an own and brutal sound. An EP containing twenty two minutes is way too short and leaves the listener hungry for more. I am looking forward too hearing a full length album of these guys. To conclude; if you are an open minded metal or electro/industrial lover Architect of the Humanicide is something which definitely is worth checking out.

Band: Herrschaft(int)
Label: Code666
Genre: crossover (industrial crossover / J-rock / (prog)rock / metal / punk)
Type: cd
Grade: 7.5
Review by: Erik
Website: http://www.h-noise.com
 
http://www.obskure.com/fr/kro_model.php?n_kro=4270

Créé en 2004 suite aux désirs du chanteur MX et postérieurement à sa rencontre avec I.N.C. (sévère et précis ex-batteur de Sworn, que certains connaissent pour une suite nommée Otargos) et le guitariste Zoé (issu de Splinter), HerrSchaft est une formation française dont la force de conviction et le degré d’exigence en font, au bout d’une seule autoproduction cinq titres telle que ce "Architects Of The Humanicide" l’un des gros points de repère de la scène hexagonale en matière d’Electro-Indus-Metal.

Sévère et noire, la silhouette musicale du projet HerrSchaft est un portrait de genre : les armatures électroniques, oppressives et ciselées, offrent un fond mouvant et générateur de progressions cybernétiques, croisant textures liquides et saturées, qui s’intègrent parfaitement à un ensemble généré aussi par d’autres éléments, plus organiques. Ces derniers, abrasifs et comme désincarnés, renforcent les effets mécaniques de l’ensemble, plutôt que de s’orienter sur un rendu purement live. Ainsi les rythmiques concises et jamais bavardes de Zoé (accompagné d’un second guitariste en concert, Mat, un ex-Erynies), impressionnent. Elles installent un tapis de saturations âpres et entament une attaque aussi lourde que stridente, complétant les schémas globaux sans réellement les dominer. Le mix fond tout, il y a dans tout cela quelque chose qui fait bloc, quelque chose d’inéluctable. C’est la musique du présent, c’est sans doute aussi celle du futur… s’il survient.
In fine, HerrSchaft fait preuve d’une vraie cohérence, une force conceptuelle qui part du collectif. Là réside sa force. Il ne s’agit pas de mettre l’ego en avant, cette musique là est celle d’un ensemble humain qui a compris que chacun devait servir la musique et non l’inverse. Les voix de MX, habilement entourées d’effets, s’incrustent ainsi avec intelligence et agressivité dans un ensemble dont on retiendra autant la froideur que l’inventivité des mélodies.
Au bout, voici vingt minutes qui captivent littéralement, autant pour leur référentiel hybride (Electro-Dark / Metal Industriel) que pour le fond apocalyptique et post-technologique qui fonde le propos du groupe, fervent adepte du "Ravage" de Barjavel. Que restera-t-il de l’Humanité une fois le Déluge survenu ? Cette question reste pour l’heure en suspens mais Herrschaft nous offre une photographie, et une projection. Si pour l’heure elles nous procurent le plaisir auditif, ses aboutissants ne reluisent a priori pas. HerrSchaft fait partie de ces nouveaux prophètes de la décadence, ceux qu’on n’écoute jamais à temps mais dont on se rappellera peut-être plus tard. Trop tard, en somme.

S’il reste à HerrSchaft à (pourquoi pas ?) à réinventer un genre, "Architects Of The Humanicide" forme d'ores et déjà une carte de visite typée et forte d’une réelle personnalité, ce qui laisse augurer du meilleur.
Sur le plan strictement musical, s’entend.

Parce que pour le reste, on est mal.
 
http://www.ablazine.com/reviewsfr-427.html

***(*)
La mode est au Metal Indus, c'est indéniable. De nombreux groupes s'y sont donc essayé, avec plus ou moins de succès. HERRSHAFT fait partie de ceux-là. Leur recette est assez bien pensée: sur des rythmes et des effets synthétiques assez réussis, HERRSHAFT greffe une voix Black vocodée et des guitares simples et efficaces. Les ambiances sont variées, et l'ensemble est travaillé pour éviter la monotonie. La balance pencherait donc du bon côté pour HERRSCHAFT… mais elle le ferait plus encore si la production bénéficiait de plus d'amplitude et d'ouverture, afin de permettre à tous les éléments d'exister distinctement des autres. Le feeling est en tout cas excellent, et il y a fort à parier que le groupe puisse rapidement devenir le centre d'intérêts...
 
http://www.gutsofdarkness.com/god/objet.php?objet=8341

Le goût pour les extrêmes cultivé par les parisiens de Herrschaft découle de la fascination qu'exerce sur ceux-ci la radicalité des positions prises par l'être humain depuis que, paraît-il, il serait descendu de l'arbre. Les notions de progrès et d'évolution en terme d'avancées scientifiques et technologiques ne sont en réalité, au même titre que les religions, des outils qui servent une politique expansionniste dont le seul moteur a toujours été la peur. Nourris aux romans d'anticipation tels que "Ravage" de Barjavel ou aux oeuvres cinématographiques qui dressent le tableau noir d'un avenir sans issue ("La Jetée" de Chris Marker), Herrschaft exprime avec véhémence le désespoir et la colère qui découlent d'une telle réflexion. Avec un tel descriptif, on aurait pu s'attendre à du black metal. Du black, "Architects of the humanicide" n'en garde que le chant, sursaturé par endroits, avec une efficacité qui rappele Nine Inch Nails voire les rares bons moments - faut-il croire involontaires - de "Antichrist Superstar". Musicalement, on reste toujours en famille avec un traîtrement électro fort prononcé, que je serais presque tenté de désigner comme dominant tant le discours développé par Herrschaft s'articule autour de cette colonne vertébrale cybernétique toute droite sortie de Terminator. Peu de répit entre les plages, celles-ci s'enchaînant avec le souci évident de bien planter leurs crocs dans le cou de l'auditeur, pour ne plus le relâcher ensuite. Sur un EP de vingt minutes, un tel parti pris s'avère efficace. Il faudra voir à présent comment le groupe envisage le passage à l'album complet, des respirations passagères et ponctuelles me semblant être la meilleure voie à suivre pour éviter de lasser. À suivre...
 
http://metalchroniques.canalblog.com/archives/2006/04/10/1681262.html

Attention O.V.N.I. en vue. 4 extra-terrestres débarquent sur terre, équipés d’une arme de destruction massive répondant au belliqueux patronyme d’ « Architects of the Humanicide ». Mais rassurez-vous, ils ne vous veulent que du bien… seuls les tympans des plus étroits d’esprit risquent de souffrir, et c’est tant pis pour eux ! Les 4 envahisseurs ont été formellement identifiés après avoir secrètement préparé leur plan d’invasion en région parisienne pendant presque deux ans : HerrSchaft est à coup sûr une entité avec laquelle il va falloir compter dans les temps à venir tant ce premier essai est une réussite absolue ; véritable joyau d’expérimentation, d’audace, de métissage des genres et d’agression sonore.

Mêlant à foison le metal et l’electro, le quartet (trio sous sa forme studio) francilien délivre en l’espace de 22’30 un avant-goût de ce que pourrait être le metal d’un autre millénaire. A l’aide de riffs acérés, de rythmiques electro des plus dansantes aux plus violentes et d’une voix d’écorché vif, typiquement BM et constamment saturée, HerrSchaft prend un malin plaisir à se jouer des clichés et à surprendre l’auditeur en abattant tous ses atouts dès son premier 5 titres (et encore… gageons que les 4 gus nous réservent bien d’autres surprises à l’avenir).
Ainsi armé jusqu’aux dents d’un impressionnant arsenal, le groupe navigue à merveille entre différents univers parallèles, différentes ambiances se mariant à merveille, tantôt glauques, tantôt violentes, tantôt planantes. Mais comme chez les HerrSchaft on ne fait pas les choses à moitié, on a également pensé à conceptualiser son univers musical. A le « bi-conceptualiser », si vous permettez le barbarisme. Deux thèmes sont donc abordés au fil des lyrics (anglais et français) : une humanité s’autodétruisant à force de poursuivre un idéal de perfection d’une part, et le devenir des restes de cette humanité d’autre part, cet univers s’accordant parfaitement à la musique futuriste du combo. Pour terminer cet inventaire façon « chez les HerrSchaft on met les petits plats dans les grands », la production est tout simplement PRO. Dur à croire qu’il s’agit ici d’une « simple » autoprod… et pourtant c’est bien le cas !

Que dire de plus si ce n’est qu’un jeune groupe vient de réussir, avec sa première démo, là où tant de groupes confirmés ont échoué : parvenir à expérimenter et innover sans livrer un produit final indigeste. Ah, une dernière chose… vous vouliez quelques noms de groupes comparables histoire de mieux cerner la bête ? Vous n’en aurez pas. HerrSchaft possède déjà une personnalité bien propre et une maturité d’écriture certaine. Allez plutôt sur leur site écouter les extraits !
« Architects of the Humanicide » ou la carte de visite parfaite pour s’infiltrer parmi nous.

http://www.h-noise.com/

Rano [8.5/10]
 
http://www.friedhof-magazine.com/criticas_detalle.php?id=1159

Herrschaft (France)
"Architects Of The Humanicide" - MCD (2006)
Sello: Aural Music
Género: Electro/Industrial Metal
7.00 / 10

Francia, cuna de tan diversos estilos musicales que, tras largos años, aun sigue sorprendiéndome, en este caso, con esta banda venida de París que nos presenta su primer EP traducido como “Arquitectos del humanicidio”, que como bien dice su última palabra, es la autodestrucción de la especie humana, la decadencia surgida de las personas que hace que quedemos avocados a la desaparición, a un suicidio a gran escala, pero el humanicidio, no diferencia a las personas por raza, sexo, religión,… no hay una característica u objetivo en particular, simplemente, este término solo abarca al ser humano, a su muerte, y es que, inevitablemente, estamos destinados a matarnos unos a otros… en fin, después de esta breve explicación, la cual describe bastante bien la filosofía de esta banda, y también este estilo, concentrémonos en su música.
Estos franceses practican un género denominado Electro/Industrial Metal, asimilándose a grupos como “Diablerie”, “Scorngrain” o “Dope stars Inc.” entre otros, aunque, Herrschaft, tiene pequeños detalles que le diferencian, sin embargo, el denominador común es la inclusión de elementos electrónicos e industriales, combinados eso sí, con riffts bastante pegadizos y no muy técnicos, queriendo transmitir unas atmósferas post-apocalípticas y caóticas mediante melodías sintetizadas, que, a veces, pueden llegar a producir sensación de saturación debido, principalmente, a la voz tan artificialmente rasgada. Su producción es muy buena teniendo en cuenta que este EP ha sido autoproducido, y transmite bastante fuerza, lo que es de agradecer.
En resumen, este grupo práctica un estilo que, quizás, a pocos agrade, de todas maneras, para aquellos que quieran probar cosas nuevas, es una buena forma de empezar, aún así, este EP te deja con un sabor de boca un poco amargo, quizás por el simple hecho de ser tan corto, pero en lo que respecta al nivel de las canciones, pues se ve que aún les queda camino por recorrer, lo que no quita que tengan una buena proyección y buenas ideas, de eso no hay duda, de todas formas hay que ser precavidos y no sacar conclusiones precipitadas ya que no han sacado el álbum completo, ahora han fichado por Code666 y no creo que tarden en grabarlo, así que tendremos que esperar para dar un veredicto definitivo, hasta entonces, aquí tenéis su adelanto.


Reseñado por: Iadalbaoth el 11 / 4 / 2007
 
http://www.amboss-mag.de/reviews/Archiv2/07/r07-04/herrschaft.html

Dunklen Metal Musik mit Elektro-/Industrial-Gestampfe zu mischen, dazu gehört schon eine Portion Mut. Die Band Deathstars hat uns auf ihrem 2 Alben gezeigt, wie man sowas massentauglicher herunterbrechen und glattbügeln kann und auch Samael mixen ihrerm dunklen Metal elektronische Komponenten bei. HERRSCHAFT aus Frankreich halten nichts von Kompromissen, sondern vereinen manchmal recht brutal die synthetischen Sounds mit Gitarren. Sie kommen anscheinend nicht aus der Gitarren-Welt wie z.B. genannte Bands, sondern haben ihren Ursprung in den elektronischen Klängen. So spielen die Gitarren auch nur eine beigeordnete Rolle im synthetischen, dunklen Klanguniversum der Debüt MCD der Franzosen, in der ich micht schwer zurechtfinde, ehrlich gesagt. Über www.h-noise.com könnt ihr euch dann auch selbst ein Bild machen. (eller)
 
http://www.metallus.it/recensione.asp?id=6042&p=0

‘Architects Of The Humanicide’, EP di esordio per i francesi Herrschaft, è un goffo tentativo di unire il metal estremo alla musica elettronica; goffo per la sua totale mancanza di mordente e per la semplicità dei pezzi.
Basta infatti ascoltare una track come ‘Apogee’, introdotta da una base di musica techno lunga e ripetitiva, per accorgersi di come il combo di Parigi elabori le proprie influenze in maniera promiscua, attingendo da un calderone che chiama in causa il Marilyn Manson più easy-listing, accelerazioni in chiave black e disco music di seconda mano. Le parti riconducibili al metal si limitano a “schitarrate” senza capo né coda che danno l’idea di una caciara fine a sé stessa, mentre gli innesti di elettronica (nettamente maggiori) tutto sono fuorché accattivanti.
Si salva ‘Self Bondage’, un episodio per lo meno orecchiabile, ma è davvero troppo poco.
‘Architects Of The Humanicide’ prelude al primo full-length della band, previsto per la fine dell’anno e che, speriamo, metta in luce idee migliori. Al momento da evitare.

Review by: Andrea Sacchi
Rate: 4,5/10
 
http://www.eutk.net/rece.asp?id=5435

Minicd di debutto per i francesi Herrschaft, trio che, approdato su Code666, ha deciso di ristampare questo “Architets Of The Humanicide”, uscito nel 2006 e preludio ad un full leght atteso per la fine di quest’anno.
La band si definisce come un mix di black metal ed electro dark con influssi industrial. La definizione calza a pennello, lo screamin’ è decisamente black, così come il concept, per il resto musicalmente le altre componenti la fanno da padrone. Il risultato sono 5 pezzi davvero convincenti, ricchi di spunti, mai noiosi, qualcuno direbbe “cool”, ed in effetti il sound finale è qualcosa di veramente convincente. C’è melodia, oscura, decadente ma anche ruffiana, melodia, c’è la potenza dei beats silicei o delle chitarre effettate e moderne, un drummin’ potente, quadrato.
Ottima ovviamente la produzione, con suoni cristallini e moderni.
Vengono in mente i Rammstein o i Kovenant di “Animatronic”, e l’elettronica spesso prende il sopravvento sulla parte metallica, in pezzi come le ottime “Haunting Torture” o la conclusiva “De Flammes Et D’Ombres”, forse il pezzo migliore di questi 22 minuti.
Il risultato finale è un disco piacevole, capace di poter piacere ad una vasta audience, piuttosto trasversale. Non è opportuno sbilanciarsi adesso, è meglio aspettare il full lenght, anche se le premesse sono decisamente ottime.

Voto: 7,5/10
Luigi 'Gino' Schettino
 
http://www.imperiumi.net/alb_2.php?id=6120

HERRSCHAFT
Architects of the Humanicide
CD
[ Code 666 ]

(7½)


01. Rise to the Humanicide
02. Apogee
03. Haunting Torture
04. Self Bondage
05. De Flammes et d'Ombres

Kesto: 22:33



Kotisivut

Kerro kaverille
Tulosta
Lisää tietoa
Genrekuvauksena mielenkiintoisesti elektroa ja black metalia kuvauksen perusteella yhdistävä Herrschaft koostuu promokuvan perusteella kolmesta varsin nuoresta kaverista. Realistisesti ja samalla ehkä hieman tylsästi kuvaus "elektro" tarkoittaa tämän aktin kohdalla pikemminkin konevetoista black metalia kuin mitään uutta ja oikeasti yllättävää.

Vuoden 2004 lopusta toiminut bändi on kasannut ensijulkaisulleen parikymmentä minuuttia konesävyistä, mutta samalla tunnelmallista äärimetallia. Särövokaaleista konebiitteihin ja syntikoihin asti, Architects of the Humanicide on modernin aikakauden industrial black metalia hyvällä maulla höystettynä. Jokainen tekeleen viidestä biisistä on hyvin tehty ja hallittu paketti, joskaan ei aivan niin uudistavalla otteella kuin mitä voisi puhtaan genrekuvauksen perusteella päätellä.

Mielenkiintoa herättävästi kappaleissa yhdistyy samaan aikaan melodinen tunnelmamaalailu kuin kyberpunk-henkinen, särötetty ja toisaalta synteettinenkin ääni-ilmaisu. Perinteisen mustan metallin riffit ja ideat paiskaavat kättä futuristen sävyttelyn kanssa ja tuloksena on samaan aikaan tutulta ja sopivasti uudelta tuntuva räiskäle. Lyhyehkö kesto pitää osaltaan huolta siitä, ettei kiekko alka tympimään missään vaiheessa ja jopa uusintapyörätykset menevät mukisematta kurkusta alas.

Kuten odottaa tällaiselta tyyliltä sopii, on äänimaailma elektroninen, koneellinen ja selkeä. Säröä tuodaan puolestaan peliin etenkin runsaasti rikotuilla vokaaleilla ja ratkaisua voikin pitää onnistuneena. Jollain tapaa Architects of the Humanicide tuo piipityksineen, konerytmeineen ja toisaalta kitaroineen mieleen absurdin sekoituksen Aborymia, Rammsteinia ja jo edesmennyttä ...And Oceansia, kuulostamatta kuitenkaan selkeästi miltään näistä. Jos nämä osatekijät herättävät jollain tapaa kiinnostuksen, on Herrschaft varmasti tsekkaamisen arvoinen. Puistatuksia yllä mainitusta nimistä saavat sen sijaan jättäköön tämän tekeleen omaan rauhaansa.

Serpent, 16.04.2007
 
http://www.metalreviews.com/reviews/detail.php3?id=3588

Despite the decidedly German-sounding moniker, Herrschaft is a four-man industrial metal project hailing from Paris, France. Their brand of metal is far more evocative of the inhuman city than the ice-bound woods at midnight or gore-soaked Satanic Mass; for the most part it falls so far to the industrial side that the word “metal” is almost a misnomer. On their five-song EP Architects Of The Humanicide, only two are really built on a solid base of guitar leads and riffs, and while the drumming is fairly prominent throughout, the focus is more on providing a beat for the synth melodies to build off of than showcasing anything resembling a fill. However, if your tastes run to the electronic, especially in the vein of Front Line Assembly, Herrschaft turn in a fairly good effort.

The industrial elements of Architects Of The Humanicide are brought to the fore immediately; the first track, Rise To Humanicide, is the most purely industrial, with nary a riff to be found. Rather, it’s a quiet, atmospheric introduction that starts off gentle but quickly builds to a more sinister crescendo. The rest of the album is almost as heavy on the melody as Rise To Humanicide, although the intensity gets cranked up even on the slower, more industrial tracks.

While those slower tracks comprise more than half the EP, what they lack in aggression they make up for in an intensity built from a multitude of well-blended layers. Haunting Torture, the most atmospheric track after the opening, sinks the fairly simple drumming and guitar work deep into at least two separate synth melodies, one based on a stringed sound and one on keys, and these apart from the purely electronic sounds that provide accent marks. The synth lines are both heavily processed to give them a tone that blends well with the inorganic sounds.

Two of the tracks, Apogee and Self Bondage, let the metal aspects come more to the fore, and crank up the tempo to complement. The riffing, like the drumming, is fairly simple. While the band describes itself as "electro-metal," the latter aspects are very sparse, and highly processed. The riffing itself is grooving and anonymous enough that it’s hard to really assign it a genre. However, it does fit well with the rest of the music, so in this case, the spareness and highly processed nature aren’t necessarily bad things. The riffs aren’t the focus of the music, and only add a bit of power to the more melodious industrial noise.

Vocalist M.X. delivers his lines in a powerful, smooth screech that wouldn’t sound out of place on a raw black metal album. His vocals are still highly processed, of course, but given that these guys aren’t trying to evoke the frozen woods, it’s not at all objectionable.

Anonymous riffs or not, Herrschaft have put together a decent EP. Their focus is clearly more on the industrial side of their music than the metal side, and thus it is in those sinister, electronic melodies that the real interest lies. If your tastes run to the electronic, Herrschaft is worth your time.


Kayla 68 / 100
 
http://www.metal.de/cdreviews.php4?was=review&id=7805

Der Dreh- und Angelpunkt des Konzepts der französischen Electro-/Industrial-Metaller HERRSCHAFT ist die Menschheit, und zwar der Beginn und das Ende ihrer Evolution. Während andere Kollegen der Zunft dieses bereits in einigen Jahren erwarten, lässt man sich damit in Frankreich noch ein bißchen Zeit, und prophezeit den vorläufigen Höhepunkt unserer Entwicklung für das Jahr 2052. Wie die Welt bis dahin aussehen könnte, soll die nun vorliegende MCD "Architects Of The Humanicide" illustrieren.
Es wird eine Welt voll synthetischer Eleganz, aber gleichzeitig auch steriler Einöde sein, in der die Menschheit kontinuierlich auf ihre eigene Zerstörung hinarbeitet - sie werden zu den Schöpfern ihres Untergangs.

Was könnte dazu besser passen als eine Mischung aus Electro, Metal und Industrial. Das Künstliche, das Synthetische findet seinen Widerhall in massiv eingesetzten Synthesizern, Effekten und Samples, extrem verzerrten Vocals und den programmierten Drums (live wird allerdings ein Drummer aus Fleisch und Blut eingesetzt). Ein kleines Manko ist hier meiner Meinung nach die Bassdrum, die leider etwas zu sehr nach Electro denn nach Metal klingt, denn in Verbindung mit den Gitarrenlinien würde eine etwas handfestere Grundbefeuerung besser passen. Ansonsten passt die Mischung sehr tanzbaren Electro-Rhythmen mit typischem Metaldrumming schon sehr gut.
So steril, wie die lyrische Welt inszeniert wird, wird die Atmosphäre auch durch den Sound transportiert, der insgesamt sehr harsch und kalt erscheint. Jedes der Instrumente klingt ziemlich steril, und obwohl sie gemeinsam agieren, sticht jedes auf seine eigene Art heraus. Das sind die schon angesprochenen Drums, die ziemlich fett (aber trocken) eingespielten Gitarren und die Synths, die dann quasi alle für sich allein im Ohr des Hörers einen Klang erzeugen, als gemeinsam zu verschmelzen. Das fällt auch bei den Melodien auf, die dadurch leicht in den Hintergrund rutschen, weil sie nicht genügend Kraft besitzen, sich gegen den Rest zu behaupten.
Liegt aber sicherlich nicht an falschen Einstellungen an den Reglern, sondern daran, dass dies genau der Sound ist, den sich die Band auch vorstellt. Ist nicht jedermanns Sache, hat aber durchaus seine Reize.
Für die für Jahresende geplante Langrille würde ich mir wünschen, dass sie auf instrumentaler Ebene etwas besser harmoniert, vielleicht verzichtet man sogar komplett auf die programmierten Drums und versucht, den melodischen Passagen noch etwas mehr Kraft zu verleihen.
 
http://www.bloodchamber.de/cd/h/3613/

Dass eine fruchtbare Verbindung auch aus der Mixtur von Industrial und Black Metal hervorgehen kann, sollte spätestens seit EMPEROR bekannt sein. Sich nun an diesem Beispiel fest zu klammern wäre jedoch falsch, denn diese äußerst seltene Mischung fällt in der Regel noch um ein vielfaches unterschiedlicher aus, als innerhalb der Grundgenres. Persönlich verwundert es mich sowieso, warum inzwischen nicht mehr Bands auf den Gedanken kommen, diese beiden Sparten zu einem neuen, explosiven Kombinat zu vereinen. Immer wieder zeigt sich die Verbundenheit der Stile in alternativen Abmischungen, elektronischen Einflüssen oder avantgardistischen Projekten, aber kaum wird eine Band in diesem Stil geboren – man entwickelt sich lieber erst dahin. Ein Großteil des Gedankenguts erscheint bei näherer Betrachtung verblüffend ähnlich und auch im musikalischen Vorgehen gibt es mehr Parallelen, als so mancher eins vielleicht wahrhaben möchte.

Die Franzosen von HERRSCHAFT zeigen auf ihrem Erstling, einem kleinen, aber feinen Minialbum namens „Architects of the Humanicide“, wie man sich, ohne einen großen Aufstand zu machen, einen individuellen Traumstil zulegt.
Die selbst betitelte Stilbezeichnung „Electro Black Metal“ ist äußerst treffend gewählt und auch die Reihenfolge der Worte spricht für sich. Man macht in erster Linie düstere Elektronikmusik mit trostlosen Synthesizermustern und beißenden Gitarren. Der Schwarzmetall und die stellenweise extreme Aggression in der Musik wird dann erst durch die Zugabe von extrem schnittigen und in den Höhen stark übersteuernden Vocals erreicht. Die resultierende, gewohnt sterile Trostlosigkeit enthält nun auch die verbittert lechzende Boshaftigkeit der schwarzen Schule.
Laut aufgedreht macht die Musik besonders Eindruck, da trotz einer sehr klaren Produktion, die Tieftöner gewaltig wummern, gleichzeitig die Höhen allerdings schmerzhaft ausfallen. Ein thrashiger Ansatz bei den Riffs kann somit auch nicht von der Hand gewiesen werden, aber mit diesem Stil hat dieses Album nun wirklich gar nichts zu tun.
Monotones Gitarrenheulen im Hintergrund untermalt das künstlich apokalyptisch anmutende Gesamtbild und sorgt somit für eine astreine Atmosphäre.

Trotz meiner Euphorie, die sicherlich hauptsächlich aus dem gelungenen Stilexperiment und dem krassen Sound gründet, muss ich zugeben, dass sich die Platte nicht ganz als der erwünschte Dauerbrenner offenbart. Einige Elektronikteile ätzen zwar angenehm in die Seele, andere werden auf Dauer aber etwas langweilig. Angesichts der hohen Zahl an Durchläufen meinerseits kann dieser Eindruck jedoch auch durch die Kürze der Platte entstanden sein. Da ein Volllängenalbum Ende diesen Jahres ansteht, bleibe ich erstmal vorsichtig, schreibe der Band aber ein großes Potential zu!
Ein Blick auf die außergewöhnlich sehens- und hörenswerte Homepage lohnt sich übrigens ebenfalls und unterstreicht das Engagement der Band.
 
http://www.powermetal.de/cdreview/review-9491.html

Die Jungs mit dem doppeldeutigen Namen HERRSCHAFT kommen wieder erwarten nicht aus Deutschland, sondern aus Frankreich. Verschrieben haben sie sich bei der 5-Track CD dem Industrialmetal mit Black Metal Gekeife, und obwohl der Elektroanteil auf dieser CD wirklich groß ist, können die Songs trotzdem begeistern.

Präziser gesagt bestehen diese aus RAMMSTEIN-Riffs, klassischer Discoelektronik und dem angesprochenen Gekeife. Nun muss man dazu sagen, das ohne die Riffs und dem Gekeife das ganze tatsächlich so in jeder Dorfdisko laufen könnte. Trotzdem bringt die Mischung in Verbindung mit der französischen Sprache genügend Härte mit, um auch den normalen Metaller zu überzeugen. Man sollte sich aber nicht zu viel Hoffnung machen, die Songs zielen eindeutig zum abtanzen ab, Moshen fällt da doch etwas schwerer.

Wer sich also nicht zu schade ist, auch mal abends in die Disco zu gehen oder sogar aus der Technoszene kommt, der wird mit HERRSCHAFT durchaus seine Freude haben und ein gutes Album für die nächste Party haben. Traditionalisten oder Moshfreunde sollten vielleicht einen Hörversuch wagen, bevor sie zugreifen.

Anspieltipps: Apogee, De Flames Et D'Ombres
Lars Strutz
 
http://www.metalrage.com/reviews/1451

Previous year I was pleasantly surprised by a French industrial release with a very black edge which went by the name Tamtrum. When I heard about this MCD from Herrschaft, which also hails from France and plays roughly the same style, it immediately grabbed my attention.

The information that came together with this MCD named electro black metal as the style that Herrschaft plays. I would rather name their style just industrial, it’s true that the singer uses high black metal screams, but the guitar riffs that are played seem to come straight from a KMFDM album, especially the opening riff of ‘Apogee’; this gave me a bit of a feeble feeling. Those high black metal scream are by the way awfully distorted, this is quite usual with industrial, but combined with black metal screams this doesn’t produce a pleasant sound.

In ‘Haunting Torture’ Herrschaft manages to create a more sinister, black sound, but still it hasn’t got that great evil vibe what compatriots Tamtrum can produce. In ‘Self Bondage’ another KMFDM rip-off riff passes by, but this time it is compensated with great attractive synths; because of this the song flows really well.

Overall I must say that I was disappointed by this MCD, sometimes it manages to create a good vibe, but too many times we hear just all too common riffs. Lets hope they will work on this in the future.
 
http://www.stormbringer.at/reviews.php?id=1611

Industrial-Metal-Bands gibt’s ja in letzter Zeit ziemlich viele, wirklich gute sind aber leider nur selten darunter. HERRSCHAFT aus Frankreich sind aber zumindest mal eine mehr. Ihre dieser Tage erschienene MCD „Architects Of The Humanicide“ bietet schon mal einen Vorgeschmack auf die (hoffentlich fruchtbare) Zukunft des Trios.

Nach dem etwas eigenartig geratenen und so gar nicht druckvollem Intro „Rise To The Humanicide“ zeigen das geniale „Apogee“ oder der Hit „Self Bondage“, wofür HERRSCHAFT eigentlich stehen: fette Elektrodrums, ebenso fette Industrial-Riffs und Geschrei aus den Tiefen der Hölle. Das ganze gekleidet in atmosphärisch düstere, noisige Produktion zaubert dann auch dem anspruchsvollsten Industrial-Hörer ein breites Lächeln aufs Gesicht.

Hin und wieder schneiden die Gitarren dann doch sehr, und auch die Stimmverzerrung hätte man an einigen Ecken und Enden ruhig etwas sparsamer einsetzen dürfen, aber im Großen und Ganzen ist „Architects Of The Humanicide“ ein Einstand, der sich gewaschen hat. Genau so muss ein moderner Mix aus elektronischer Musik und Metal heutzutage klingen.

Allen, die jetzt hellhörig geworden sind, kann ich HERRSCHAFT's „Architects Of The Humanicide“ nur wärmstens ans Herz legen. Von den Franzosen wird man in den nächsten Jahren definitiv noch hören. Vor allem dann, wenn ihr kommendes Album mit diesem exzellenten Vorgeschmack mithalten kann. Ich freu mich drauf.

Wertung: 4.0 von 5.0
Autor: Pr0m3th3us (17. April 2007)
 
http://www.bloodchamber.de/cd/h/3613/

Dass eine fruchtbare Verbindung auch aus der Mixtur von Industrial und Black Metal hervorgehen kann, sollte spätestens seit EMPEROR bekannt sein. Sich nun an diesem Beispiel fest zu klammern wäre jedoch falsch, denn diese äußerst seltene Mischung fällt in der Regel noch um ein vielfaches unterschiedlicher aus, als innerhalb der Grundgenres. Persönlich verwundert es mich sowieso, warum inzwischen nicht mehr Bands auf den Gedanken kommen, diese beiden Sparten zu einem neuen, explosiven Kombinat zu vereinen. Immer wieder zeigt sich die Verbundenheit der Stile in alternativen Abmischungen, elektronischen Einflüssen oder avantgardistischen Projekten, aber kaum wird eine Band in diesem Stil geboren – man entwickelt sich lieber erst dahin. Ein Großteil des Gedankenguts erscheint bei näherer Betrachtung verblüffend ähnlich und auch im musikalischen Vorgehen gibt es mehr Parallelen, als so mancher eins vielleicht wahrhaben möchte.

Die Franzosen von HERRSCHAFT zeigen auf ihrem Erstling, einem kleinen, aber feinen Minialbum namens „Architects of the Humanicide“, wie man sich, ohne einen großen Aufstand zu machen, einen individuellen Traumstil zulegt.
Die selbst betitelte Stilbezeichnung „Electro Black Metal“ ist äußerst treffend gewählt und auch die Reihenfolge der Worte spricht für sich. Man macht in erster Linie düstere Elektronikmusik mit trostlosen Synthesizermustern und beißenden Gitarren. Der Schwarzmetall und die stellenweise extreme Aggression in der Musik wird dann erst durch die Zugabe von extrem schnittigen und in den Höhen stark übersteuernden Vocals erreicht. Die resultierende, gewohnt sterile Trostlosigkeit enthält nun auch die verbittert lechzende Boshaftigkeit der schwarzen Schule.
Laut aufgedreht macht die Musik besonders Eindruck, da trotz einer sehr klaren Produktion, die Tieftöner gewaltig wummern, gleichzeitig die Höhen allerdings schmerzhaft ausfallen. Ein thrashiger Ansatz bei den Riffs kann somit auch nicht von der Hand gewiesen werden, aber mit diesem Stil hat dieses Album nun wirklich gar nichts zu tun.
Monotones Gitarrenheulen im Hintergrund untermalt das künstlich apokalyptisch anmutende Gesamtbild und sorgt somit für eine astreine Atmosphäre.

Trotz meiner Euphorie, die sicherlich hauptsächlich aus dem gelungenen Stilexperiment und dem krassen Sound gründet, muss ich zugeben, dass sich die Platte nicht ganz als der erwünschte Dauerbrenner offenbart. Einige Elektronikteile ätzen zwar angenehm in die Seele, andere werden auf Dauer aber etwas langweilig. Angesichts der hohen Zahl an Durchläufen meinerseits kann dieser Eindruck jedoch auch durch die Kürze der Platte entstanden sein. Da ein Volllängenalbum Ende diesen Jahres ansteht, bleibe ich erstmal vorsichtig, schreibe der Band aber ein großes Potential zu!
Ein Blick auf die außergewöhnlich sehens- und hörenswerte Homepage lohnt sich übrigens ebenfalls und unterstreicht das Engagement der Band.