HERRSCHAFT - "Tesla" - REVIEWS

http://www.darkscene.at/index.php?m=review&i=3282&PHPSESSID=465360471b9f8f3df5068ee9a75b4664

Herrschaft kommen wider Erwarten nicht aus Germanien, sind kein seelenloser Rammstein Klone und singen nicht mal Deutsch. Herrschaft sind Franzosen und haben mit "Tesla" ihr erstes full-length Album am Pranger. Geboten wird ein breit gefächertes durchwegs metallisches Sammelsurium aus Industrial, Elektro, EBM mit leichten Black Metal Vibes. Schwer durchschaubar scheint die Rezeptur, für eingefleischte Metalheads ohnehin unerträglich, werfen die Menschen aus dem Land der weich gekochten Schnecken auch dem aufgeschlossenen Musikfan mit sehr offenem Weltbild ein brutal eigenwilliges Menü auf den Teller. Die Speisekarte zeigt sich mutig, extravagant, exotisch, jedoch auch dementsprechend unkonventionell im Abgang. Innerhalb von nur ein, zwei Gängen servieren Herrschaft vom prächtig durchs Gaumenfell schmeichelnden Moshgroove, bis zum zerfahrenen Elektronikcocktail verschiedenste Welten in fast demselben Atemzug. Es scheint fast unüberschaubar, nicht zu begreifen, was die Franzosen hier in kürzesten Abständen miteinander vermengen. Die Ansätze sind gut, keine Frage. Der letzt Pfiff, die Effizienz kann sich aber noch nicht so recht durchsetzen, weshalb viele kreative und durchaus tolle Strukturen einfach nie ihre konsequente Umsetzung erleben. So würden sich Nummern wie das im Grunde geil krachende "Valliant", "Under Perfect Control", oder auch der Stakkato Brecher "Chaostructure" mittels kleiner Tunings als ziemlich hitverdächtig vorstellen. Dieser letzte Funken Können, die letzt Zielstrebigkeit fehlt Herrschaft aber auf ihrem Debüt (das übrigens ein recht durchdacht und auch atmosphärisches Konzeptalbum zwischen Utopie und Endzeit ist) noch, diese Attribute werden die Aufgabe sein, welche die Franzosen in Zukunft zu lösen haben um dort mitzuspielen, wo sie ohrenscheinlich gern dazugehören wollen: Nämlich in die Mitte jenes Kreises, den man am Konzert großer Bands namens Apoptygma Berzerk, The Kovenant, Samael, Deathstars und Ministry vorm imaginären Auge schweben hat.

Herrschaft haben einen Grundgedanken, der durchaus löblich wäre, ein Ziel, das sehr hoch gesteckt scheint. Herrschaft haben durchaus Potential, haben auch ein potent gutes Grundgerüst geschaffen, um Fans oben genannter Band zu bezirzen. Um dies jedoch restlos überzeugend rüberzubringen, um jegliche Zweifel in der Verdauungsphase des apokalyptischen Schmauses zu beseitigen, sei ihnen die Zeit bis zum nächsten Werk gestattet. Aus dieser ambitionierten Electro-Metal Band kann mit richtiger Abschmeckhilfe ohne Frage was werden…
 
http://www.side-line.com/reviews_comments.php?id=31397_0_17_0_C

Herrschaft is a French combo that already released a debut-maxi “Architects Of Humanicide” in 2007. With their official debut-album they bring a powerful crossover style between electronics and metal. The mix of their murderous guitar assaults and cool electronic bleeps has been well-crafted. The balance between both inputs has been masterfully executed while delivering some real good tracks as well. The opening cut “Valliant” is from start on a heavy piece of music where metal and electronics are living together. The vocals can be only harsh and perfectly fit to the music. The next piece “Human Soul” is another astonishing track with efficient electronic arrangements on top. The “Nemesis”-[song featuring some female backing chants (like a sort of lamentations) is powerful as well and brings some diversity and a touch of mysticism in the tracklist. With the song “Chaostructure” Herrschaft experiences with pure dark electro sequences and some gothic elements while the guitar adds the power! In a way we can say that the electronic parts are like the soul of Herrschaft and the guitar riffs the body! Herrschaft is a real good surprise!
(ED:7)ED.
 
http://www.metalreview.com/4387/Herrschaft-Tesla.aspx

Following up last year's superbly titled Architects of the Humanicide EP, the surprisingly-not-German-but-in-fact-French troop Herrschaft have knocked out their first long-player in Tesla and it’s a solid, if not remarkable effort. While the band does branch out here and there with their sound, for the most part they stay within a fairly straightforward electro-rock format with raspy black metal-styled vocals. Among the eleven tracks on Tesla there are some strong moments for sure, and the album has been produced with care. While there’s probably something here to interest fans of industrial metal in general, Herrschaft play things a little too safely to be a genuinely exciting listen.

As already mentioned, there are some good songs on Tesla. "The Defenders" effectively breaks away from the more moderately paced earlier numbers with a thrashing main riff that’s as catchy as it is brutal. It’s followed nicely by the title track which is definitely one of the best on the album, with eerie female wailing layered over a dark melody that is genuinely atmospheric. Other strong numbers include "I Am the One" which veers dangerously close to full-blown dance territory (and works), and the high-energy stomp of "Chaostructure". These songs are worth waiting for and show good promise as to what Herrschaft may come up with on future outings, though the impact is somewhat lessened by other tracks that aren’t nearly as memorable.

Overall, Tesla is an entirely serviceable effort from Herrschaft, but not essential. By all means check this one out if you consider yourself a fan of industrial metal, but don’t expect to be blown away. This band is pretty solid musically and for at least half its running time this album finds itself in the zone, but a fair chunk of it is too safe and predictable to really get the blood pumping. I would like to see Herrschaft take a few more risks on future releases, as this would certainly help set them apart from their electronically inclined brethren. For now though, what these guys have going for them is good production values, slick performances and songwriting that isn’t quite there yet but coming along nicely.
 
http://www.french-metal.com/chroniques/herrschaft.html

Herrschaft, à l'entendre on croirait à un de ces groupes nous venant tout droit d'Allemagne et officiant dans un style qui commence à connaître ces premières heures de gloire, j'ai nommé l'électro métal.

"Tesla" leur premier opus en titre, nous dévoile bel et bien un combo orienté électro mais surprise tout de même, Herrschaft est en réalité plus proche de nous que nous le pensions puisqu'il demeure en nos saintes terres françaises.
Mais quel est donc cet ovni musical si intriguant qui plus est a pris vie au beau milieu d'une scène locale qui se risque si peu dans des formations ne faisant guère l'hunaminité et sortant des limites de l'ordinaire !? Prenez donc comme tout groupe métal le quator gagnant à savoir guitariste, bassiste, chanteur à la voix indeniablement gutturale et batteur, ajoutez-y un synthé et un but commun : délivrer un message sur l'avenir de l'homme ; le tout avec un visuel à la modernité glaciale et vous obtenez la formation électro métal française la plus efficace et la plus recherchée jusqu' alors.

On apprécie en "Tesla" les idées qui fusionnent sans jamais se faire de l'ombre ou encore les ambiances de fin de monde où les lueurs d'espoir entrevues disparaîssent aussi vite qu'elles sont apparues.
Pour la comparaison à ce qu'il se fait à l'heure actuelle en matière d'électro / goth métal avec un Grendel ou un Suicide Commando, disons qu'Herrschaft privilégie les concepts thématiques et voit en "Tesla" un moyen universel de clamer haut et fort leurs idées sur le monde et les êtres qui le peuplent. Ici la musique sonne alors généralement moins électro, j'entends par là que les rythmiques et les plans gardent en mémoire un modèle rock et que les instruments ont su garder un son assez naturel.

Herrschaft est donc un ovni français qui méritera de se faire accepter par qui voudrait bien s'y intéresser... et j'espère que ceux-ci seront nombreux !
 
http://www.crypticmadness.com/Metal/album.php?id=8888

"Warning ! We are under attack !". L’intro marque assez bien le terrain, juste avant l’arrivée de gros riffs doublés de divers sons électroniques, qui laissent place au chant écorché du dénommé MX. C'est parti, avec ce premier morceau puissant et accrocheur, pour un peu plus de trois quart d'heure d'un metal électronique martial et mélodique, torturé et jouissif à la fois.
Il est vrai, l'electro-metal est un genre qui atteint une certaine reconnaissance, surtout grâce aux monstres que sont Rammstein ou Nine Inch Nails, mais il fait parfois un peu rire les metaleux traditionalistes, qui n'y voient que de mauvais pompe-fric tout juste bon à faire tripper les gothiques. Si, comme tous les genres musicaux, ce style atteint parfois une certaine caricature, il reste toutefois de nombreux groupes capables de relever le défit, qui consiste à nous plaire en nous surprenant; Herrschaft est l'un d'eux. S'il est vrai que l'ensemble de l'album risque de sonner un peu commercial, il serait très bête de s'arrêter à cette première impression. Car l'une des qualités principales de l'electro-metal est surtout de coller une immense claque à l'auditeur, de le faire entrer dans un univers sombre et apocalyptique, où tout est possible et permis. Et de ce point de vue là, Herrschaft réussi pleinement son coup ! Le meilleur exemple est sans doute le très dansant "Human Soul", jouissif à souhait, ou un "The Defenders" bien puissant et rentre-dedans, après une intro plutôt glauque... Mais, et c'est là qu'on reconnaît qu'il s'agit d'un bon groupe, Herrschaft s'amuse aussi à nous surprendre, comme en ajoutant une guitare sèche et des samples de vent entre les 3ème et 4ème titres... moment calme et triste, qui n'est pas sans rappeler les "ballades" du sieur Marilyn Manson sur Mechanical Animals ou Holy Wood. C'est d'ailleurs plutôt du Révérend, ou de CNK, que je rapprocherais le groupe français, de part le rendu à la fois limite pop et expérimental, "in your face" et réfléchi, en bien plus électronique.

Car les machines restent très présentes dans Tesla, si bien qu'on est parfois presque plus proche d'une sorte de techno malsaine et puissante que de metal ("The Defenders", "I Am The One"), ou du moins d'un electro-goth qui n'est pas sans rappeler des groupes comme Das Ich. A compter encore avec un chant plutôt agressif (de ce point de vue là, on est loin des gothiqueries à la Deathstars !), qui évoque autant la scène electro-goth que le black metal industriel (Aborym, etc), mais qui donne un très bon rendu, touchant et flippant. Le côté technoïde est surtout présent sur des passages comme l'intro de "I Am The One", un tube en puissance. Quant à la puissance rammsteinesque, on la retrouve par exemple sur "Apocalypse Child", avec sa rythmique sonnant très germanique (en moins lourd, quand même !). C'est aussi dans ce morceau qu'apparaissent des voix claires, vraiment très réussies...

Alors c'est vrai, tout ça peut sonner comme étant calibrer pour faire danser les goths en boîte de nuit, avec ce côté jouissif, puissant, tout en restant tristounet et pessimiste, avec les habituels titres plus calmes ("Nemesis", "Under Perfect Control"), qui permettent de souffler tout en pleurant sur notre sort... Mais, avouons-le, c'est ce qu'on aime dans ce genre de musique !! Car s'il est vrai qu'Herrschaft cultive un arrière-fond glauque et dérangeant, leur musique est surtout très accrocheuse et facile d'accès. Les esprits chagrins pointeront du doigt l'aspect commercial de la chose, les autres diront que Tesla peut bien devenir une pierre angulaire d'un genre de musique qui se cherche encore... Après tout - en tous cas de mon point de vue - il est plus agréable d'entendre un album qui sonne un peu commercial, mais qui est jouissif et plaisant, plutôt que de se farcir un truc beaucoup trop sombre et expérimental, qui ne peut plaire qu'à un nombre restreint d'initiés. De ce côté là, Herrschaft réussi tout à fait à intégrer quelques touches personnelles à sa musique, tout en restant très facile d'accès et très accrocheur. Mais ne boudons pas notre plaisir, écoutons, et profitons de cette bonne décharge d'adrénaline !
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Par Ombre Noire
NOTE
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METAL BIBLE: http://infernaldmons.oldiblog.com/?page=articles&rub=0&nba=5

rate: 6/6

Retour d'HERRSCHAFT après un très remarqué "Architects Of The Humanicide" qui m'avait fortement impressionné. A cette époque, je laissais entrevoir un avenir brillant pour ce groupe mélangeant de la musique électronique à des riffs saturés et rageurs avec des voix empruntant aussi bien au BLACK qu'à l'INDUSTRIEL.
Voici donc le dernier né de HERRSCHAFT, "Tesla". Ne faîtes pas triste "Bobine" (elle était facile celle-là !), cet album est tout simplement excellent. Dans la suite logique de "Architects Of The Humanicide au niveau du concept musical d'ensemble, les compositions se sont considerablement enrichies en mélodies et en feeling. On pénètre dans l'univers du groupe dès le premier titre "Valliant" et on aura du mal à s'en sortir même avec la fin de "Vortex". L'opressante ambiance délivrée lors de leur démo est toujours présente et les arrangements qui peaufinent l'opus sont du meilleur cru. Les plus grosses claques pour ma part sont données par "The Grand Architects", "Under Perfect Control", "Nemesis", "Chaostructure" et "Vortex". Mais le reste est tout aussi joussif alternant les rythmes pour éviter la redite ou l'ennui. Il n'y a pas de doute, on prend son pied d'un bout à l'autre. Un gros effort a été aussi fait au niveau du chant qui appui sur les refrains et pré-refrains gardant ainsi toute l'attention de l'auditeur. Vous vous surprendrez d'ailleurs à fredonner pas mal de ces morceaux.
L'autre tour de force, c'est d'être immédiatement conquis par la musique d'HERRSCHAFT et d'avoir du mal à en sortir. On peut se repasser l'opus autant de fois que l'on veut, on y prend toujours autant de plaisir. L'accès est d'ailleurs aussi facile qu'efficace. Même si vous n'êtes pas adepte de ce style musical, vous ne ressortirez pas indemne de l'écoute de "Tesla". Ayant déjà deviner un avenir prometteur pour HERRSCHAFT, à l'époque de "Architects Of The Humanicide", je ne peux que confirmer qu'ils detiennent ce petit plus qui fait qu'ils iront très loin si ils gardent ce cap. Un grand moment musical aussi original que réussi, à découvrir d'urgence !
 
http://www.lesacteursdelombre.com/Ombres/chronique/detail.asp?rsRubrique=Groupe&rnChronique=3741

Herrschaft nous revient en force pour confirmer la bonne surprise de son premier mini CD. Se présentant comme un groupe mélangeant black metal et électro, l’album Tesla nous délivre de suite une criante fusion entre un Rammstein à ses débuts et un groupe de black sympho comme il en existe tant, avec de belles symphonies et un chant crié se rapprochant du death. Mais il serait fort dommage d’en rester à cette première impression et de ne point développer un peu plus l’approche que nous fournit Tesla.

Si l’originalité du mélange annoncé n’est pas au rendez-vous, le groupe puisant allégrement dans les canons des styles, c’est bien dans la réussite du mélange que se trouve la bonne surprise. On prend dans un shaker de bonnes mélodies purement électroniques tel que Suicide Commando nous balancent sur un « Axis of Evil », des ambiances et arrangements à la Rammstein comme sur les morceaux "Halleluia" ou "Cocaïne", des bons riffs, bien travaillés, entrainant et un chant puissant et vous obtenez quelque chose qui au départ ne semblait pas forcément pouvoir se mélanger ! Pourtant l’alchimie prend avec Herrschaft et le voltmètre explose !

Les signes de pathologie ne s’y trompent pas : mouvement de tête, la musique vous prend dès le premier morceau au cerveau et décharge un courant alternatif de refrains et de parties puissantes ! Déhanchements et tremblements comme si vous êtiez sur une chaise électrique et le phénomène s’amplifie lorsque vous faites pousser les watts. A plus fort volume, Tesla dévoile de nouvelles ondes et vous scotche sur place.

Chaque pièce du puzzle que nous délivre Herrschaft s’enchaine avec les autres sans la moindre faille, et sans tomber dans la monotonie, l’harmonie général de l’album est réussie. Niveau production, rien à redire, chaque son trouve bien sa place et sans pour autant faire crade, le son ne fait pas du tout lissé comme on peut trouver sur tant de groupe d’électro ou de black.

Le travail de l’artwork est également impressionnant, non point qu’il soit fort évolué, mais bien par le fait qu’il colle parfaitement à la musique : la fois, net, incisif et glacial.

Test de Tesla donc réussi, Herrschaft confirme qu’il faudra tenir compte de sa présence dans l’avenir et il ne maque plus qu’au public français de soutenir ses groupes de qualité… Une très bonne réussite !
 
http://www.metalupyourass.net/article-18505469.html

HERRSCHAFT: Tesla (2008-Code666) [Cyber-Metal]



Ceux qui ont parcourus les pages ou qui suivent le site depuis un moment connaissent forcemment HERRSCHAFT, groupe de Cyber-Metal parisien, qui m'avait gravement impressionné avec leur MCD 'Architects Of Humanicide', que j'avais chroniqué il y a un peu plus d'un an... Depuis le groupe a continué son bonhomme de chemin, en trouvant notamment un deal avec le label italien Code666 (Atrox, Aborym, Wormfood...) et se remettre au travail pour nous offrir un véritable album digne de ce nom!
A l'image de cette pochette froide et glaciale (mais néanmois sublime!), la musique de nos parisiens se veut toujours sans concession aucune, avec ce concept de l'apocalypse (toujours très influencé par le roman 'Ravages' de René Barjavel) qui sied si bien à ce mélange de samples électros, de riffs incisifs et de ce chant unique plus proche d'un Black-Metal sans concession que du style emprunté habituellement dans l'électro-Metal... Personnellement, en ce début 2008, après les déceptions de certains ténors (Soilwork, Bullet For My Valentine et peut-etre le prochain In Flames...), qu'est-ce que ça fait du bien de se retrouver avec un album de la trempe de ce 'Tesla', qui m'a véritablement scotché et ce dès la première écoute!
Si les pays nordiques possèdent The Covenant Black Comedy et autres Deathstars, que la Suisse a des valeurs sures avec Samael et Sybreed et que l'Allemagne possède son monumental Rammstein, il manquait en France un groupe qui puisse représenter cette mouvance ou musiques synthétiques et métalliques se confondent pour former ces styles que l'on nomme aussi bien Indus/Electro ou bien Cyber-Metal.
Car oui j'ose le dire, aucun groupe dans l'hexagone n'arrive à la cheville d'HERRSCHAFT. Certes, tout un tas de groupes s'est engouffré dans la mouvance électro-machin, mais la plupart se sont sont empetrés dans un style ou les samples ne sont qu'un ajout sans intéret, comme pour masquer leur manque de créativité, meme si certains sont finalement plutot doués et sortent du lot (The CNK ou encore Interria)...
Donc comme je le disais plus tot, on a enfin avec HERRSCHAFT un groupe digne de ce nom, et je défie quiconque penser le contraire après avoir écouté 'Tesla'. Une chose est sure cependant, le groupe a énormément évolué en 2 ans depuis la sortie de son MCD, à tel point qu'on en est soufflé, autant d'ailleurs par la qualité des compos que par la production gargantuesque du disque. Si des morceaux comme 'Valliant' & 'Human Soul' rappellent la première oeuvre du groupe, on est carrément surpris par les risques pris par le groupe sur des morceaux plus "légers" comme 'I Am The One' (le hit-single parfait!) qui nous assome avec son beat techno voire pratiquement Dance-Floor, ou ce 'Apocalypse Child' ou MX nous surprend en tentant l'aventure avec un chant clair surprenant dans le refrain, assez déstabilisant quand on connait le groupe mais néanmoins excellent! San oublier ce 'Tesla', qui apporte un coté gothique certain avec la voix cristalline de Sarah de The Outburst, venue ici filer un coup de main à ses potes! (Zoé étant également le bassiste du groupe de la belle...)
Alors que 'Architects Of Humanicide' possédait des compos assez linéaires, le groupe a décidé de retourner les choses avec 'Tesla', qui proposent des titres très variés, choix plus subtil qu'il n'y parait puisqu'il évite l'ennui, car les 11 titres (...+1 bonus-track si vous laissez le cd tourner jusqu'à la fin!) ont chacun une personnalité propre et confèrent à ce premier album un charme indiscutable. D'ailleurs n'allez pas croire qu'HERRSCHAFT a fini par mettre de l'eau dans son breuvage, car ce n'est vraiment pas le cas, celui-ci s'est seulement trouvé un style bien à lui, avec ce metal hybride ou les samples et les guitares n'ont jamais faits si bon ménage, et ou la voix hargneuse et blackisante de MX fait et continuera de faire la différence avec tous les autres combos du genre. Pour les réticents, jetez donc une oreille attentive sur des brulots comme 'Under Perfect Control' ou bien 'The Defenders' pour vous en convaincre!
Je m'avance peut-etre quelque peu, mais c'est évident qu'on a là l'un des meilleurs disques de l'année 2008 tous styles confondus, mais ça n'engage que moi!
:headbang::headbang::headbang:
 
http://www.friedhof-magazine.com/criticas_detalle.php?id=1670



[SIZE=-1]Herrschaft (France)
"Teslä" - CD (2008)
Sello: Code666 Records
Género: Electronic Darkwave
7.00 / 10[/SIZE]

Herrschaft es una banda francesa editada por “Code 666” que debutan con este álbum “Tesla” de 11 temas.
El estilo musical es similar a Div Fiv; por si alguien no lo conoce, es un grupo electrónico con voz “Black Metal” que tiene unos álbumes muy interesantes. Herrschaft lo combina con guitarras eléctricas y baterías reales.
Puede recordar a lo que venía haciendo Kovenant, pero bastante mejor hecho, con más coco y menos pastelero. Imaginaros unos Pain, o a unos Theater of Tragedy del “Muzik” pero con voz desgarrada y distorsionada. Al igual que Pain, teclados abundantes futuristas y atmosféricos con algunas melodías increíblemente buenas.
La producción es impecable, y se agradece en un álbum de este estilo, que a veces se escucha cada cosa que parece mentira que pretendan dar un toque serio al asunto.
“Human soul” es uno de los mejores temas del álbum, por lo pegadizo que resulta, más que los demás temas incluso, que ya lo son. El sexto tema “Tesla”, que da nombre al álbum, tiene un genial estribillo que te pone la carne de gallina.
En definitiva, si te gustan los toques electrónicos en el Metal, temas contundentes, los ritmos marciales y machacones y los estribillos pegadizos, “Tesla” te va a parecer un discazo.



Reseñado por: Azathoth el 4 / 5 / 2008
 
[FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][SIZE=-1]Review[/SIZE][/FONT]
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ArtistHerrschaft TitleTesla
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Record Comp. Code 666 / Aural Music Year2008 Lenght Genre Electro / Metal Notes
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Vote
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7
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Two worlds confront each other, almost clash within “Tesla”. Two separated often hostile universes, that of extreme heavy metal and that of EBM, forced to live together by the will of three French musicians with enigmatic names. Despite the previsions, there’s no attrition amongst the various planets that circle around the star of Herrschaft, contrarily the starting doubts fade into tolerance, then into sympathy, then into affinity. A traditionally hard enterprise becomes a natural operation in the mind of these writers/performers who, taking inspiration from a fertile current (metal + electronics), finishes with generating a peculiar product, if not personal. Anguishing but not too oppressive, “Tesla” is almost following the speech started by The Kovenant, but taking it into the walls of a dance club. As inspired by Pain, but setting instincts free. Or, somewhere else, as they dried out the sarcasm and song shape of Rammstein to add a semi-hypnotical state. And, when the beats increase, the choice between headbanging or dancing is just in the heart of the listener.
[SIZE=-1]Dario Adile [/SIZE]
 

http://www.vampster.com/artikel/show/27307_HERRSCHAFT-Tesla_.html

Bei HERRSCHAFT handelt es ich nicht um eine weitere Neue Deutsche Härte-Band, sondern um französische Elektro/Düster-Metaller. Das Debütalbum "Tesla" kann aber leider noch nicht mit den Größen des Genres mithalten. HERRSCHAFT klauen einfach noch zu viele Ideen bei Acts wie etwa MARILYN MANSON, GOTHMINISTER, CRADLE OF FILTH oder THE KOVENANT. Unter den insgesamt elf Kompositionen ist leider zuviel Ausschuss mit dabei. Wiederum schafft es das Trio kleine Hits zu kreieren, die bestimmt so manche Tanzfläche der einschlägigen Clubs füllen könnten. Man nehme als Beispiel "The Grand Architects". Nach einem kurzen Vorspiel schlägt das Stück um. Eine einprägsame metallische Gitarrenlinie wird von einem Midtempo-Drumbeat unterlegt. Im Hintergrund erzeugt das Keyboard eine kalte Atmosphäre. Gesanglich erwarten den Hörer morbid anmutende und kreischige Vocals. "The Defenders" ist hingegen etwas flotter und durch den Offbeat ist dieser Song ebenfalls ein prädestinierter Tanzflächenfeger, wenn auch nicht eigenständiger – denn hier orientieren sich die Franzosen zu sehr an den großen Vorbildern. Wie schon erwähnt, um zu den erfolgreichen Bands aufschließen zu können, fehlt es HERRSCHAFT noch an einer Latte eingängiger Tracks und zudem an einer besseren Produktion, um diese Art von Musik besser transportieren zu können.
 
http://www.zwaremetalen.com/recensie/10501/Herrschaft-Tesla.html


Herrschaft - Tesla
Code666, 2008
Volgens de bijgeleverde infosheet maakt Herrschaft electro metal die beïnvloed is door moderne black metal en 'harsh' EBM. Verder staat er nog wat geneuzel te lezen over twee zijden van een futuristisch universum; Aan de ene kant steriele perfectie en aan de andere kant chaos. Wat de band hier precies mee wil zeggen is mij niet helemaal duidelijk, maar waarschijnlijk proberen ze beide werelden conceptueel te benaderen met hun muziek.
Cross-overs van moderne/industrial black metal en EBM komen wel vaker voor. Ik denk aan The Kovenant, CNK en, in mindere mate, Tamtrum. Erg bevredigend vind ik zulke fusies echter niet vaak. Maar nou ben ik ook, ondanks dat ik het een leuk idee vind, over het algemeen geen fan van de combinatie 'industrial' met (black) metal. Vaak ligt, naar mijn mening, de nadruk bij zulke projecten teveel op oppervlakkige, zoetsappige industriallijnen. Een uitzondering die deze stijlen wel sterk en boeiend met elkaar weet te combineren is, het al eerder genoemde, CNK.
Maar goed, terug naar Tesla van Herrschaft. Hoewel er op de infosheet meerdere malen met het woord 'metal' wordt geschermd heb ik toch wat moeite met deze muzieksoort te herkennen in de muziek van de heren. Wat Heerschaft met Tesla neerzet is wel degelijk redelijk hard en zowel de gitaarlijnen en als de drumpartijen zijn eruit te plukken, maar de band doet mij toch eerder denken aan een Wumpscut dan aan, bijvoorbeeld, Aborym. Als je het mij vraagt maakt Herrschaft EBM/industrial met hier en daar een licht vleugje metalinvloeden.
De muziek van Herrschaft op Tesla wordt gekenmerkt door zware ritmepartijen, veel industrial 'bliepjes', aardige doch wat oppervlakkige keyboardmelodieën en screamy black metalachtige vocalen. Er zijn hier en daar wel wat bas- en gitaarlijnen en drumpartijen te vinden op deze plaat, zoals in het nummer Vortex, maar de EBM-kant van de muziek heeft toch de overhand. Met name de geprogrammeerde ritmepartijen donderen onverstoord het gehele album door. Hetzij de ene keer wel wat sneller dan de andere keer, maar ze bepalen het gehele album door het gezicht van de muziek. Daarnaast zijn ook de vocalen en electroinvloeden volop aanwezig en delven de niet digitaal geprogrammeerde instrumenten toch het onderspit. De computerritmepartijen en keyboardlijnen wisselen elkaar met regelmaat op de voorgrond af. Zo heeft Herrschaft zowel wat zwaardere/snellere stukken als epische rustige intermezzo's waarbij lichtere keyboardlijnen de eerste viool bespelen. De zware ritmelijnen blijven echter tijdens deze passages subtiel doch duidelijk op de achtergrond aanwezig.
Tesla van Herrschaft is een lekker plaatje geworden. Sterke, catchy ritmepartijen en aardige keyboard melodieën vullen elkaar goed aan en worden aangevuld met veel extra details. Ik ben echter wel van mening dat Tesla een stuk meer naar EBM/industrial/electro neigt dan naar metal. Dat is op zich niet erg, maar ik denk dat wat extra metalinvloeden de schijf wel wat interessanter had gemaakt. Ondanks dat het een zeer aardig schijfje is geworden vind ik Tesla over het geheel genomen toch net een tikje oppervlakkig.





http://www.zwaremetalen.com/recensie/8292/Herrschaft-Architects-of-the-Humanicide.html

Score: 76/100
 
http://www.harm.us/reviews/showreview.cfm?albID=5674&visitor=0

You might think that with a name like Herrschaft, and knowing my strong liking for that country, that this is another German act. Well, that would be wrong, since these guys are actually from France.

I reviewed their Architects of the Humanicide MCD in 2007, and I remember liking the music, but found the thrashy vocals a bit annoying. On Tesla, this problem is mostly thing of the past. Indeed, the raspy vocals are more discrete, like it is commonly heard in Black Metal, and its thrashy side is not as screamed and loud as before, much to my pleasure. Herrschaft combines extreme Black Metal with more electronic and techno sounds, to create a dark and futuristic scenery. The keyboards and electronics are very present in their compositions. A few tracks even have a danceable beat ("I Am the One" & "Apocalypse Child"), which is not really my thing, but I've seen worst! I mean, let's face it, the majority of those so called "male" vocalists in mainstream metal are nothing more than a cheesy impersonation of disco's biggest joke : The Beegees! Herrschaft is not cheesy, not at all. Rather the opposite. Their music is intense, melodic, somber, cinematic, modern, a bit catchy on the side yes, but kicking as hell too! This is not like The Kovenant, who simply went from Black Metal to techno, if you see what I mean.
Again, there are many places to draw you attention for good tracks on this release like: "Valliant", "Human Soul", "Under Perfect Control" (acoustic guitars, wind & rain samples here), "Tesla", "Nemesis" and "Vortex" (more acoustic guitars!). 8.5/10
 
http://www.adnoctum.de/frame.html

Herrschaft - Tesla
11 Songs - 53:55
Code666
Die Franzmänner mit dem deutschen Namen Herrschaft haben sich dem Electro Metal verschrieben und würzen diesen mit modernen Black Metal Passagen. Die ganze Chose wirkt stark futuristisch und wenn man kein Faible dafür hat, wird man Herrschaft auch nicht Gehör schenken. Fakt ist, dass gerade manche Passagen arg kitschig klingen und das Keyboard nicht immer optimal eingesetzt wird. Wie man so etwas besser hinbekommt und vor allem auch seriöser klingt haben die Australier von The Amenta schon vorgemacht. Mit dieser Combo kann man Herrschaft aber ansonsten nicht vergleichen, da Herrschaft viel zu poppig sind. Mit Metal hat "Tesla" wenig zu tun. Wieso man die Band nun Herrschaft nennen muss und Songs mit Titel wie "Über alles" als hidden Track verstecken muss, bleibt die Frage. Meiner Ansicht nach ziemlich überflüssiger Lärm.
 
http://teethofthedivine.com/site/reviews/herrschaft-tesla/

Herrschaft
Tesla
(Code666)
Judging by their name, you’d expect Herrschaft to be a German industrial act, all brooding Teutonic sturm und drang. You’d only be partly right - they’re actually French, and spew a harsh, danceable mix of pounding industrial, bristling electro and crunchy metal riffs.

The vocals - heavily processed, of course - are definitely the most striking element of Herrschaft. Corrosive and serrated, they add a truly vicious edge to the experience. (If you’ve heard Leather Strip or God Module, then yeah, like that.) In a break from the grim, measured delivery of many industrial acts, Herrschaft’s screams are varied and emotive, further raising the intensity. They’re not quite black metal, but there’s an undeniable link to that level of madness.

Tesla opens with “Valliant”, a mid-tempo thrasher that, while certainly a fine track, feels a bit on the familiar side. The second track, “Human Soul,” is much more arresting - a purer, harder example of busy, whirring EBM stomp. Crazed vocals slice through clouds of electronic ephemera, and during the chorus, Herrschaft shows that they’re not afraid of a little melody too. From there, Tesla streaks forward into track after electrifying track of beatscapes, beepspasms and buzzsaw guitars. BPMs vary from breakneck firestorms to a couple of grinding dirges, and all of it designed to kill.

If you don’t instinctively crank the volume when the first huge riff of “The Grand Architects” kicks in, check your speakers. Both “The Defenders” and “I Am the One” pump with the kind of echoey dance-club synths you expect from most Eurotrash dance music (or the Russian techno they play on Vladivostok, for those of you ‘cousins’ cruising around Liberty City), then get cut to shreds by the driving guitar pulse and razor-sharp vocals on each. Herrschaft even expands to a few refined, exotic inclusions, like the ghostly choirs on “Vortex,” or the Middle Eastern female vocal that weaves in and out of the title track.

(Speaking of female vocals, If I had to compare Tesla to anything in recent memory, it’d be The Kovenant’s Animatronic, which I just listened to again today. That album is still as ridiculously infectious as ever, but almost too eager in its attempts to be maniacal and extreme. Those industrial gears grind and churn, but they’re also clogged with cheese.)

Industrial metal seems to have been quietly rusting away as of late. Ministry are shutting down, Fear Factory seems to be having problems on the assembly line, and it doesn’t seem likely we’ll ever see a sequel to Front Line Assembly’s metallic classic, Millenium. Herrschaft definitely brings it all screaming back - a sleek, sharp, liquid T-1000 for the dancefloor. I can only imagine what kind of firepower the next model will arrive with.
 
http://www.lordsofmetal.nl/showreview.php?id=11613&lang=en

Herrschaft - Tesla
Aural Music Group

file under Industrial / EBM

Marcus: The new Herrschaft album contains a mix between electro/EBM sampling, heavy guitar lines and distorted vocal lines. The overall sound is professional, but a disadvantage of this album is the amount of samples used. Every song contains an overkill of electronic bleeps and samples. The weak fundament of some songs seems to be disguised by this excessive amount.

I want to underline that this release absolutely isn't bad at all, on the contrairy. The cyber/electronic influences only make Herrschaft sound like so many bands who have done the same thing before. The sound of the entire album is very bombastic and professional. I'm expecting that Herrschaft will do great with these new songs in live situations. One of my favourite song on this album is 'I Am The One', which starts of with a slow EBM synthline. It's the most pheric song on the album. There's not too much sampling going on, and there are clear melodies audible. Also lots of dynamics. The song 'Apocalypse Child' shows ones more that Herrschaft has more musicality than the opening tracks of the album.

Rating: 81/100 (details)
 
from : http://www.metallized.it/recensione.php?id=2063


Herrschaft - Tesla

Se vogliamo parlare di alternative metal, vi prego, parliamo degli Herrschaft. Che l’alternative metal negli ultimi anni stia tendendo sempre più a vincere qualunque altro genere di metal più ‘all’antica’, questo è risaputo: metalcore,groove, post-thrash e chi più ne ha più ne metta, ma nella mia carriera di ‘metallara’, mai avevo sentito qualcosa di lontanamente simile al genere del sovracitato gruppo. Trattasi di una mistura perfettamente congeniata di metal estremo, dark e musica elettronica; sia ben chiaro, di gruppi contaminati da sonorità dark ed electro ce ne sono molti, ma mai queste due componenti si erano così ben integrate col metallo pesante (in particolare black metal moderno). ‘Tesla’, l’ultima uscita degli Herrschaft, è invece la conferma che questa atipica unione di generi così differenti può avvenire.

Forte è anche l’influenza della scuola industrial, e oltretutto le sonorità futuristiche ottenute ben rappresentano il contenuto tematico dell’album, un concept che narra la storia del nostro mondo in un futuro prossimo (2052): questo mondo è giunto alla massima perfezione ideale e allo splendore grazie alle ultime tecnologie e al contributo di un’elite di cervelli superiori, chiamati ‘grandi architetti’, che prendono il controllo; ma la loro stessa brama di potere porterà la distruzione e il caos, immagine dell’improvvisa consapevolezza del destino amaro che spetta all’umanità, ovvero l’impossibilità di raggiungere un mondo ideale e perfetto, e l’irrealizzabile controllo del nostro stesso potere.

La successione delle undici tracce (dodici contando l’ultima, ‘Uber alles’, hidden track ascoltabile dopo qualche minuto di silenzio dal termine di ‘Vortex’) musicalmente parlando è ottimamente indicativa della catabasi che i tre musicisti francesi vogliono presentare col loro concept, giungendo ad una massima tensione sulle tracce finali che trattano il tema del caos e del decadimento.
I sintetizzatori fanno da padrone con suoni fortemente debitori della musica techno ed elettronica, e pongono le basi su cui si adagia una voce abbastanza filtrata prevalentemente screaming, ma a momenti più grave o sussurrata (‘Nemesis’), e raramente pulita (‘Apocalypse child’).
Le chitarre da parte loro si limitano ad accompagnamenti ritmici carichi di effetti, attingendo a sonorità fusion, thrash, ed heavy, mentre la batteria a braccetto coi sintetizzatori si cimenta in tempi abbastanza semplici, ma è il genere, o meglio la mistione di generi, che richiede questa semplicità.

Intro psichedelici (‘Nemesis’), o inquietanti (‘Under perfect Control’), coretti soffocati e sinistri (‘Tesla’) e momenti tastieristici quasi symphonic/power metal completano la varietà musicale di questa band, i cui componenti sono stati ‘grandi architetti’ di un lavoro ottimamente concepito e costruito, che non tocca l’irraggiungibile perfezione ideale, ma ci va molto vicino.
Ascoltatelo!

Valeria Di Chiaro "§tarChild"


78 / 100
 
review: from powerplay Magazine (UK)

France really isn't somewhere I'd immediately associate with hard edged industrial metal, but this second album from this French bag of mayhem is going to change all that. What we have here is futuristic, memorable and thoroughly enjoyable. Influenced by the EBM scene and black metal, Herrschaft (try not to dwell on the pun) come across as a hybrid of Aborym and Deathstars with a sizeable dose of latter day KMFDM. Add to this elements of current EBM/industrial acts like Hocico, Solitary Experiments and even a few bits of XP8, and you have an album that is explosively crunchy and very, very dancefloor friendly.

The band leans more towards the industrial than the metal, making the heavy sections that much more effective. Their use of harsh, effected vocals actually works to underline how melodic the music is, and the whole thing comes across as the sound of a band who are destined for very big things indeed. This is an album to get new fans into the genre, and old ones excited again, and I'm happy to report that it is basically brilliant. "The Grand Architects" is one of the most impressive songs I've heard in this genre in years.... wait, actually, scratch that: this is the best metallic industrial album to come out in a long time, period.

Andrew Hawnt 9 powerpoints (we give a maximum of 10)
 
From webzine French Metal : http://www.french-metal.com/chroniques/herrschaft.html

Herrschaft, à l'entendre on croirait à un de ces groupes nous venant tout droit d'Allemagne et officiant dans un style qui commence à connaître ces premières heures de gloire, j'ai nommé l'électro métal.

"Tesla" leur premier opus en titre, nous dévoile bel et bien un combo orienté électro mais surprise tout de même, Herrschaft est en réalité plus proche de nous que nous le pensions puisqu'il demeure en nos saintes terres françaises.
Mais quel est donc cet ovni musical si intriguant qui plus est a pris vie au beau milieu d'une scène locale qui se risque si peu dans des formations ne faisant guère l'hunaminité et sortant des limites de l'ordinaire !? Prenez donc comme tout groupe métal le quator gagnant à savoir guitariste, bassiste, chanteur à la voix indeniablement gutturale et batteur, ajoutez-y un synthé et un but commun : délivrer un message sur l'avenir de l'homme ; le tout avec un visuel à la modernité glaciale et vous obtenez la formation électro métal française la plus efficace et la plus recherchée jusqu' alors.

On apprécie en "Tesla" les idées qui fusionnent sans jamais se faire de l'ombre ou encore les ambiances de fin de monde où les lueurs d'espoir entrevues disparaîssent aussi vite qu'elles sont apparues.
Pour la comparaison à ce qu'il se fait à l'heure actuelle en matière d'électro / goth métal avec un Grendel ou un Suicide Commando, disons qu'Herrschaft privilégie les concepts thématiques et voit en "Tesla" un moyen universel de clamer haut et fort leurs idées sur le monde et les êtres qui le peuplent. Ici la musique sonne alors généralement moins électro, j'entends par là que les rythmiques et les plans gardent en mémoire un modèle rock et que les instruments ont su garder un son assez naturel.

Herrschaft est donc un ovni français qui méritera de se faire accepter par qui voudrait bien s'y intéresser... et j'espère que ceux-ci seront nombreux !
 
From Rock One mag ! :

HERRSCHAFT
"Tesla"
(Aural Music/SPV/Wagram)


Tu kiffes : Rammstein, The CNK et Deathstars.
Le premier album du combo electro metal parisien.

Quatre ans après leurs débuts dans la capitale, Herrschaft sort un premier opus original et prometteur. Metal electrisé, electro sombre, beats techno se joignent à un chant purement maléfique pour produire un disque aussi hypnotisant qu'inquiétant.
Un son destructeur mêlé a des mélodies symphoniques, le tout dans une atmosphère grandiloquente. Loin d'être un simple disque hargneux, l'album reserve des surprises en mélangeant guitares heavy, electro, chants arabisants et piano qui nous feraient presque oublier qu'il s'agit d'un groupe de metal.
Un premier essai carrément brillant.

Karine DURAND

Killer Tracks : Human Soul, Under Perfect Control, Chaostructure.