Mechanical Poet - "Woodland Prattlers" REVIEWS

http://www.vs-webzine.com/ind.php?act=kread_comment-first.php&id_news=4128&actdroite=kmenunew-first.php

MECHANICAL POET -Woodland Prattlers (Aural Music/Season Of Mist) - 01/12/2004 @ 10h42

On ne compte plus le nombre de formations, en provenance des pays situés en Europe de l’est et plus loin encore (si l’on pousse jusqu’en Russie, on peut trouver des bizarreries telles que ce Mechanical Poet), sortant de l’ordinaire et créant quelques atmosphères particulières. Face à ce genre de disques un peu inclassables, une dure tâche - mais sûrement pas ingrate - est alors soumise au pauvre chroniqueur (que je suis aujourd’hui) se devant, en plus d’assimiler toutes les nuances générées par des musiciens un peu à part, décrire au mieux les sensations ressenties. Comme pour accentuer le petit faible du label italien Aural Music pour Mechanical Poet, la sortie de ce premier album est accompagnée de celle du premier EP (« Handmade Essence », 2003), à l’origine autoproduit et auto distribué.
Hors des sentiers battus du Metal, cet opus doit être considéré comme un album concept à part entière. Sur fond de musique orchestrale, les titres d’ouverture « Main Titles » et de fermeture « End Credits » de ce LP collent parfaitement à l’esprit de l’Artwork de la pochette, entre bande dessinée et bande originale pour films fantasy. Ces épilogue et prologue permettent de nous préparer à une entrée/sortie en douceur pour les neuf compositions restantes. Ces dernières allient le meilleur du Rock/Hardrock progressif (riffs moteurs dynamiques et des plus énergiques, solos techniques et vocalises aux fréquences aigues) à des éléments plus éthérés (parfois presque Pop...) tels que nappes ambiantes, samples inquiétants et instruments acoustiques (violon et piano). La force de cet album résulte de la combinaison équilibrée entre rythmiques et breaks puissants Heavy/Thrash et parties beaucoup plus lyriques, voire même enjouées (« Sirens Of The Underland », « Natural Quaternion », « Shades On A Casement »). Les guitares saturées font en effet bon ménage avec les arrangements dignes de certaines instrumentations que l’on peut entendre en musique classique. Le jeune trio russe (formé seulement en 2002) réussi à créer ici une musique mélodique et captivante, dont transparaît un aspect avant-gardiste et novateur. Une des sorties les plus intéressantes de cette fin d’année...

Rédigé par : DeadStar | 15/20
 
Emi said:
from METALLUS (biggest metal portal in italy)
Bullshit! :D

Emi said:
from HMP (Heavy Music Portal)

http://www.hmp.it/modules.php?name=Reviews&rop=showcontent&id=3653

rate: 88/100

Io ne ho viste cose, che voi umani non potreste immaginarvi. Ho visto un doppio slipcase in edizione strettamente limitata a 1000 copie contenente 2 cd meravigliosi a vedersi, affascinante facciata dell'original comic book score che prende il nome di Woodland Prattlers. E ho visto un booklet tanto esteticamente spettacolare, quanto intellettualmente intrigante; un vero e proprio fumetto, parte indispensabile alla storia narrata dalle 11 tracce incise su disco. O meglio sui dischi, non era infatti da meno per nessuna ragione il bonus disc contenente l'EP Handmade Essence. Quello che ho visto potrebbe essere sufficiente a far impazzire chiunque di voi umani, ma quello che ho sentito è altrettanto stupefacente. Ho sentito orchestrazioni grandiose, da vera e propria colonna sonora. E ho sentito la voce della foresta e dei folletti sovrapporsi al rumore degli ingranaggi nel laboratorio degli scienziati. Voi umani non potreste nemmeno immaginarvi un'attitudine così scanzonata, tanto sentita e credibile nei momenti più solenni, quanto divertente e divertita non appena corre il rischio di divenire seriosa. Non sareste in grado di costruire imponenti castelli sonori senza sentirvene i Re indiscussi, senza lasciarvi andare a sfarzi eccessivi; non avreste mai l'umiltà di relegarvi al modesto ruolo di intrattenitori e gaudenti accompagnatori nel lungo viaggio che spetta al vostro invitato. Io ne ho viste e sentite cose, che voi umani non potreste nemmeno immaginarvi. E tutti quei momenti andranno perduti nel tempo come lacrime nella pioggia. È tempo di morire.

Adorabile

This is mine, I seem to have been even too strict.
:OMG:
:worship:


Waiting from the interview-answers from Lex, that will be another cool article.
:headbang:
 
Lex...
are you by chance a member of mechanical poet?
If so congratulations on a rather fantastic album, ive been forcing it on every one i can find to sit still long enough.
 
btw, no russian reviews?
No, Emi. The Russian reviews usually appear after the release. :)

Lex...
are you by chance a member of mechanical poet?
If so congratulations on a rather fantastic album, ive been forcing it on every one i can find to sit still long enough.
Yes, that's me. 33,33333...mechanical % :D Thank you so much for the appreciation! :oops: I really don't care for reviews of any kind of hatred when I see people liking what we do.
 
lex, can you explain to the people what does "mechanical poet" means exactly? we receive many emails about this and I think that probably could be interesting
 
from BRIGHT EYES

http://www.bright-eyes.de/baseportal/CDs/kritikendetail&Id==5400

rate: 10/13

Aus Moskau kommt diese progressive Band, die „Progressivität“ darin versteht, alles zu einem Sound zu verwursten, was ihr gefällt. So wechseln sich Orchester-Parts mit derbem Neo-Thrash-Geriffe ab (das Intro „Main Titles“ geht in „Stromchild“ über, das immer wieder durch klassische Streicher unterlegt wird). Der theatralische und nicht immer oberfette Gesang von Max Samosvat ist zwar variabel, bisweilen aber auch anstrengend (Einstieg von „Natural Quaternion“). Um die obligatorische Hausnummer zu suchen, würde ich sagen, ihr befindet euch auf dem Sweden Rock Festival und steht genau in der Schnittmenge der 4 Bühnen, auf denen gleichzeitig Rage mit dem Lingua Mortis Orchester, Tad Morose, Notre Dame und Meat Loaf spielen. Je nach dem, wie ihr den Kopf dreht, findet ihr mal Power Metal („Strayed Muppet“), mal balladeskes Material („Shades On A Casement“) oder abgedrehtere Horrosounds („Bogie In A Coal Hole“). Nachdem Polka dank Finntroll nicht mehr wirklich out ist, wagen sich auch MECHANICAL POET daran und bauen in „Swamp-Stamp Polka“ solche Rhythmen ein. Strange, aber nach dem 4. Durchlauf irgendwie passend, wenngleich man auch gerne mal länger vor der einen oder anderen Bühne komplett verweilt hätte.
 
Emi said:
lex, can you explain to the people what does "mechanical poet" means exactly? we receive many emails about this and I think that probably could be interesting
It's just a title - nothing more, nothing less. We needed a name for our band and chose this one. First we liked how it sounded. Second, it didn't have any exact meaning and it was cool, because everyone could imagine everything he wanted. It's like a buddhistic koan, which has a lot of meanings and doesn't mean anything at the same time. If you see some sense that is the most suitable for you, then you're right. There is no any attitude, no hidden messages, proclamations and other thing like that. Only music, lyrics, artwork and this title. Everyone who has his or her own point of view is right. Everyone who doesn't have it is right also. That's it. :)
 
Lex said:
Me too, but I'm still curious, what can these sneering britons write. :Smokedev:

Oi watch who you call a sneering Brit mate! Heheheh! :wave:

I liked your explanation of the band name, its exactly how we came up with Axis of Perdition.
 
A french one (7/10) from www.lordsofwinter.com :

En provenance de Russie, débarque le trio de Mechanical Poet, armé d'une conception ma foi surprenante du metal, délaissant toute composante extrême dans le but de mieux se concentrer sur l'élaboration de majestueuses mélodies. L'appellation proposée par la formation (ou le label, qu'en sais-je ?) pour la mouvance dans laquelle évoluent doucereusement nos chérubins - et que j'ai d'ailleurs pris le plaisir d'employer ici à nouveau, se voit même des plus adaptées pour définir leur approche, puisque s'y mêlent sans mal éléments progressifs et envolées orchestrales.

La nature progressive de l'objet s'affirme évidemment au travers de structures alambiquées, témoignant d'un travail saisissant de ce point de vue, sans qu'il apparaisse pour autant aussi inaccessible que peuvent s'avérer l'être les poncifs du genre. L'emploi exclusif d'une voix claire se positionnant à cent lieues de clichés stridents à l'envi, et lui préférant les intonations puissantes et enjouées d'un Bruce Dickinson (Iron Maiden), d'un Arjen Lucassen (Ayreon), ou encore d'un David Fremberg (Andromeda), tout en se réservant la possibilité d'y ajouter quelques tonalités suaves lestement distillées (l'ouverture de "Bogie in a Coal-Hole"), aura ainsi de quoi rassurer les récalcitrants. Et si certains excès criards sont parfois à relever, ils n'apparaissent en définitive que purement marginaux au regard de l'intérêt général suscité par le chant, des choeurs tels que ceux de "Sirens From the Underland" venant sans mal raffermir encore ce dernier. L'on notera de plus en référence à l'univers progressif le recours à quelque soli aussi discrets que bien sentis (celui de "Old Year's Merry Funeral" est une petite merveille), s'inscrivant en parfait contrepoint de claviers décidément prépondérants tout au long de cet enregistrement.

Et c'est bien ici que se forge le caractère orchestral - et quelque part l'identité - de Mechanical Poet : la composition se fonde sur les claviers et non l'inverse, et ce détail d'importance transparaît dès les premières notes d'une introduction instrumentale simple mais efficace, légère mais non dépourvue d'énergie. L'on y effleure certes le pompeux par une aspiration notable à la grandiloquence, et probablement davantage que par la suite (quoique quelques réminiscences soient à noter), lorgnant dès lors vers les ouvertures enchanteresses d'une bande originale issue d'un blockbuster hollywoodien, à la manière de Dimmu Borgir sur leurs dernières réalisations en date. Pardonnez toutefois ces emportements bilieux que je ne saurais modérer, car le résultat est plus que digne d'intérêt, excellemment ciselé : délicates notes de piano, nappes d'ambiance enlevées (Will 'O the Wisp") ou ornementant simplement l'arrière-plan sonore de leur volupté, tonalités de cordes classiques, violon en tête ("Sirens From the Underland"), l'offrande est ici polymorphe et résolument entraînante.

Accrocheuse même, et ce point ne saurait être discuté si l'on en vient à ajouter que les guitares oeuvrent pour l'essentiel dans un registre heavy/thrash, délivrant une multitude de riffs d'une profondeur mélodique conséquente, pas mièvre pour un sou pour autant, et que l'on aura loisir de savourer des les premières écoutes. La folie étant toujours à portée de main dans cette caste d'oeuvres quelque peu inclassables, un "Swamp-Stank-Polka" possédé (suivi toutefois d'une courte plage instrumentale), relevant une ambiance plombée quelques minutes auparavant par le lancinant "Shades on a Casement", façon "The Spirit Carries On " de Dream Theater, vient clore le débat dans d'augustes circonstances, évoquant un tantinet les digressions d'Atrox ou de Mr Bungle, sans atteindre toutefois le génie de ces derniers.

Vous l'aurez saisi à la lueur de ces quelques lignes : Mechanical Poet incarnent une approche personnelle du metal, mêlant diverses influences à forts relents mélodiques afin d'en transcender l'essence. Et si la perfection n'est jamais approchée, force est de constater que l'on prend un plaisir non feint à son écoute : celui de découvrir une réalisation empreinte de fraîcheur, bien ficelée, et se refusant à ressasser les gloires d'antan comme tant d'autres se complaisent à le faire...

(Reapie - 06/12/2004)
 
from Nocturnal hall

http://www.nocturnalhall.de/frameindex_e.htm

rate: 10/10 (wow...!)

Picture a Devon Townsend influenced Jack the Pumpkin King belting out some tunes backed with a band of gothic metal gents and what do you get? MECHANICAL POET. Residing in a place once known as the Soviet Union (Russia) the trio welcomes it’s second debut carving a musical score with orchestral trances and sleek rhythms in Woodland Prattlers. Musical substance diversity is shared with scores done by keyboarding with original members Lex Plotnikoff (guitar, bass, keyboards) and Tom Tokmakoff (drums, bass, keyboards) for which possess vast instrumental capabilities for which you can hear with the bands current release.

Album is done in a movie soundtrack theme combining dark elements with sweet harmonies crashing into surface with song Strayed Moppet, done in a metal varied influence one can beg to differ that Jack the Pumpkin King is making his grand entrance. Grandeur vocalist Max Samosvat brings into life the essence for which this band has sought hard to seek, since the group auditioned more than 130 singers for this position. And indeed a job well sought and filled with the right individual component. Woodland Prattlers having a good backbone of recorded production and overall musical side this album shatters other bands of this type. Doubt if any bands of this caliber are out there, but nonetheless MECHANICAL POET in itself are true musical art form amazement. Much can be said about this tour de force of music but feel this current score of metal filled orchestral effort MECHANICAL POET touches bases unlike any band heard thus far.
 
Mechanical Poet "Woodland Prattlers" ranked at numer 8 in the "2004 -TOP 50" of the Dakest Hour Radioshow:

Charts: TOP 50 - YEAR 2004
Band - Album - Label


1- Kataklysm - Serenity in Fire - Nuclear Blast
2- Megadeth - The System has failed - Sanctuary
3- Entwine - DiEversity - Spinefarm
4- Augury - Concealed - Galy Records
5- Tesla - Into the Now - Sanctuary
6- Atreyu - The Curse - Victory
7- Dragonforce - Sonic firestorm - Noise
8- Mechanical Poet - Woodland Prattlers - Aural/Code 666 :hotjump: :hotjump: :hotjump:
9- Fear Factory - Archetype - Liquid/Navarre
10- Quo Vadis - Defiant Imagination - Skyscraper/Fusion III
11- Disillusion - Back to times of spendor - Metal Blade
12- A Perfect Murder - Unbroken - Victory
13- Crematory - Revolution - Nuclear Blast/PHD
14- Disarmonia Mundi - Fragments of D-Generation - The End
15- The Dillinger Escape Plan - Miss Machine - Relapse
16- Suffocation - Souls to Deny - Relapse records
17- Atrocity - Atlantis - Napalm/Fusion III
18- God Forbid - Gone Forever - Century Media/FAB
19- The End - Within Dividia - Relapse
20- Ghoulunatics - Sabacthany - Galy Records
21- Scorpions - Unbreakable - Sanctuary
22- Nightingale - Invisible - Black Mark
22b-Annihilator - All for you - The End
23- Raunchy - Confusion Bay - Nuclear Blast
24- Evergrey - The Inner Circle - IOMA/Fusion III
25- Revolver - Turbulence - Sextant
26- Autumn Tears - Eclipse - Dark Symphonies
27- Anthrax - Music of Mass Destruction & The Greater of two evil - Santuary
27b-Iced Earth - The Glorius Burden - SPV/Fusion III
28- Torn Within - Allied with bitterness - Galy Records
29- Alexisonfire - Watch out! - Superscript Media
29b-The Haunted - Revolver - Century Media/FAB
30- Farmer Boys - The Other Side - Nuclear Blast/PHD
31- Daysend - Severance - Metal Blade
32- In Flames - Soundtrack to your escape - Nuclear Blast/PHD
33- Hypocrisy - The Arrival - Nuclear Blast/PHD
34- Rhapsody - Symphony of enchanted lands II - The Dark Secret - SPV/Fusion III
35- Tvangeste - Firestorm - Neoblast
36- Jeff Scott Soto - Lost in the translation - Frontiers/Fusion III
37- Shadows Fall - The War Within - Century Media/FAB
38- Lilitu - The Delores Lesion - The End
39- The Acacia Strain - Thirty Seven Fifty - Prostetic Records
40- Soul of Darkness - Torments in withering existence - Skyscraper/Fusion III
41- Beseech - Drama Napalm/Fusion III
42- Threshold - Subsurface - IOMA/Fusion III
43- Hanker - Web of Faith - Skyscraper/Fusion III
44- WASP - The Neon God Part 1 & 2 - Sanctuary
45- Cannibal Corpse - The Wretched Spawn - Metal Blade
45b-Finntroll - Nattfödd - Spinefarm
46- Time in Malta - Alone with the alone - Superscript Media
47- Smeer - Loud and Clear - Lion Music/Fusion III
48- Magister Dixit - Infernal Martyrism - Galy Records
49- Merlin - Brutal Constructor - GWN
50- From the inside - From the inside - Frontiers/Fusion III